Quelle est la volonté et la capacité de votre client à prendre des risques? | Les conseillers financiers d'

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Anonim

Lors de l'élaboration d'un portefeuille d'investissement solide pour un client individuel, un conseiller financier doit prendre en considération les facteurs clés qui aident à élaborer la stratégie d'investissement la plus appropriée. En fin de compte, la principale préoccupation est la réalisation des objectifs financiers du client, et les considérations clés sont la volonté et la capacité du client à prendre des risques afin d'atteindre ces objectifs. De nombreux aspects fondamentaux sont intimement liés à ces préoccupations, que chaque conseiller financier doit examiner avant de constituer un portefeuille solide.

Tolérance au risque vs capacité de risque

La tolérance au risque est souvent confondue avec la capacité de risque, mais la réalité est que si les deux sont similaires et liés, les deux concepts sont assez distincts les uns des autres. Peut-être la façon la plus simple de comprendre les deux est de les considérer comme des côtés opposés de la même pièce.

Lorsqu'un conseiller financier traite de la tolérance au risque d'un client, le conseiller détermine la capacité mentale et émotionnelle du client à gérer le risque. Essentiellement, cet aspect de la gestion des risques consiste à comprendre et à respecter le niveau d'investissement ou le risque financier qu'un client est à l'aise de supporter, ou le degré d'incertitude que le client peut supporter sans perdre son sommeil. Habituellement, le niveau de risque qu'un client juge acceptable variera en fonction de son âge, de sa stabilité financière et de sa sécurité, ainsi que des objectifs de placement que le client veut ou doit atteindre. Les conseillers utilisent parfois des questionnaires ou des sondages pour se faire une idée plus précise du degré d'investissement risqué.

Le revers de la médaille est la capacité de risque, qui est plus un jeu de chiffres financiers. Le conseiller financier doit examiner le portefeuille d'un client, en tenant compte des paramètres financiers qui indiquent le niveau auquel le résultat net du client peut supporter le risque en cas de pertes potentielles, et comparer cela avec le risque potentiellement bénéfique en termes de gains en capital possibles . La capacité de risque est limitée par plusieurs aspects et implique le besoin potentiel de liquidité d'un client, ou un accès rapide à l'argent, avec la rapidité avec laquelle le client doit atteindre ses objectifs financiers.

Risque de liquidité

Le risque de liquidité est souvent une source de préoccupation majeure pour les clients. La capacité de vendre rapidement des actifs et de les liquider en espèces n'est pas toujours une nécessité, mais la plupart des investisseurs trouvent toujours réconfortant de savoir qu'ils ont la capacité de couvrir des coûts soudains ou imprévus, comme une urgence médicale. Le risque réside dans les types de placements que le client détient. Par exemple, un conseiller financier peut conseiller des placements de capital-investissement pour des clients qui sont moins préoccupés par un accès rapide à de l'argent comptant, le compromis étant le potentiel de rendements significativement plus élevés.D'un autre côté, les clients soucieux de la liquidité bénéficieraient de placements dans des fonds négociés en bourse (FNB) et des actions, qui peuvent être facilement liquidés pour leur juste valeur marchande.

Préoccupations fiscales pour les investisseurs

Un conseiller financier doit également déterminer comment construire correctement le compte de placement d'un client, en fonction des préoccupations fiscales éventuelles du client. Ceci est largement basé sur l'horizon temporel et les objectifs d'investissement du client.

Par exemple, considérez qu'un client crée un compte de placement à épargner pour la retraite et qu'il souhaite différer le paiement de l'impôt sur les placements du client jusqu'au moment où le client prend sa retraite. La plupart des clients préfèrent reporter leurs impôts jusqu'à la retraite, car ils tomberont généralement dans une fourchette d'imposition nettement plus basse, car les revenus gagnés sont bien inférieurs à ce qu'ils étaient au cours de leur vie active. Pour un client dans cette situation, la meilleure action que le conseiller financier peut prendre est de mettre en place des investissements à travers un véhicule, comme un compte Roth IRA, qui permet généralement des retraits qui sont exempts d'impôt et de pénalité après que le client atteint 59 ans 1/2. Toutefois, pour les clients qui prévoient effectuer des retraits fréquents de capital avant la retraite, il n'y a aucun avantage à effectuer des placements dans un compte de placement de type à imposition différée.