Panama Papers: 10 premières banques pour les sociétés offshore (CS, HSBC)

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Panama Papers: 10 premières banques pour les sociétés offshore (CS, HSBC)
Anonim

Selon l'analyse des Panama Papers par l'ICIJ, plus de 500 banques ont ouvert près de 15 600 Le cabinet d'avocats panaméen Mossack Fonseca, la plupart d'entre eux depuis les années 1990. Dix de ces banques sont responsables de 7 364 sociétés offshore, avec des filiales de HSBC Holdings PLC (HSBC HSBCHSBC Hldgs48. 26-0 .19% Créé avec Highstock 4. 2. 6 ) responsable de plus de 2 300. UBS Group SA (UBS Groupe UBSUBS Inc. 17. 05-0, 18% Créé avec Highstock 4. 2. 6 ) et Credit Suisse Group AG (CS > Groupe CSCS 16, 16-0, 06% Créé avec Highstock 4. 2. 6 ) chacun représente 1, 100, et Banque Royale du Canada (RY RYRoyal Bank of Canada79 .75 + 0 42% Créé avec Highstock 4. 2. 6 ) horloges 378.

Le fait qu'un grand nombre de ces comptes semblent avoir été ouverts ou maintenus en violation des lois et règlements peut être source de préoccupation pour les investisseurs de la banque, qui ont vu leurs rendements amortis par des amendes dans le passé.

Parmi les récipiendaires de comptes demandés par UBS, selon l'ICIJ, le prince héritier saoudien Muhammad bin Nayef ben Abdulazziz Al Saud, le fraudeur Roberto Videira Brandão et le banquier vénézuélien Marco Tulio Henriquez, recherché par les Etats-Unis pour blanchiment de l'argent du cartel de la drogue. (Voir aussi,

Panama Papers Conseil de l'iceberg: Le Congrès aide les fraudeurs et les terroristes. ) HSBC, quant à lui, a choisi de continuer à faire des affaires avec Rami Makhlouf, cousin du président syrien Bashar al-Assad, alors que le conflit en Syrie s'aggravait. Le Trésor américain avait gelé les actifs de Makhlouf en 2008, mais une chaîne de courriels de 2011 montre que HSBC et Mossack Fonseca ont décidé de poursuivre leur relation avec lui de toute façon. (Voir aussi,

Pourquoi le Panama est-il considéré comme un paradis fiscal?

) Le gouvernement des États-Unis n'a pas eu le sens de l'humour concernant les violations commises par les banques dans le passé. Pour ne prendre qu'un exemple, le 18 mai 2014, le Credit Suisse a plaidé coupable d'avoir aidé des clients à dissimuler de l'argent dans des comptes offshore et a été condamné à une amende de 2 dollars. 8 milliards. En février 2015, la société a dû retraiter ses résultats annuels, ramenant sa perte de 2,9 milliards de francs suisses (CHF) à CHF 3,1 milliards en raison d'une «augmentation des provisions pour litiges». (Il a dit que ces dispositions étaient liées à des hypothèques américaines, pas à des comptes offshore.)

L'action a chuté de 54,1% depuis son plaidoyer de culpabilité, ou de 51,9% en ce qui concerne les dividendes.

Au total, le Département de la Justice s'est installé dans le cadre du programme de la Banque Suisse auprès de 78 banques suisses pour des délits fiscaux depuis 2013. Wegelin, la plus ancienne banque privée de Suisse, a fermé ses portes après avoir plaidé coupable devant un tribunal de Manhattan en 2013.

The Bottom Line

Un certain nombre de grandes banques ont été impliquées dans le scandale des Panama Papers, ce qui pourrait les exposer à davantage de litiges et d'amendes, en particulier de la part des autorités américaines. Étant donné que ces amendes ont eu une incidence sur les bénéfices et les stocks des banques dans le passé, les investisseurs pourraient devoir se préparer à des nouvelles décevantes.