Quelle est la différence entre une défense contre les pilules empoisonnées et une défense contre les pilules suicidaires?

◼︎ 7 POISONS QUI FERONT ÉCHOUER VOTRE ANNÉE 2017 !!! (Septembre 2024)

◼︎ 7 POISONS QUI FERONT ÉCHOUER VOTRE ANNÉE 2017 !!! (Septembre 2024)
Quelle est la différence entre une défense contre les pilules empoisonnées et une défense contre les pilules suicidaires?
Anonim
a:

Une défense contre la pilule empoisonnée et une défense contre la pilule suicide sont deux stratégies de défense différentes qu'une entreprise peut utiliser pour contrecarrer une OPA hostile. Une pilule suicide est une version extrême d'une pilule empoisonnée et entraîne souvent des résultats préjudiciables pour le candidat au rachat.

Une pilule empoisonnée est utilisée par les candidats aux prises de contrôle comme stratégie défensive pour contrecarrer les tentatives d'OPA hostiles d'une entreprise. Lorsqu'une entreprise ciblée utilise un mécanisme de défense contre les pilules empoisonnées, elle tente de rendre la prise de contrôle plus difficile pour l'entreprise acquéreuse. Par exemple, supposons que la société ABC soit un candidat à la prise de contrôle et qu'elle dispose d'une clause de pilule empoisonnée dans ses statuts. La société DEF détient une participation de 40% dans ABC et envisage de reprendre la société. Toutefois, les actionnaires existants, à l'exception de l'acquéreur, ont le droit d'acheter des actions d'ABC à un prix réduit. Cela dilue la valeur des actions d'ABC et empêche DEF de prendre le contrôle de la société.

Une pilule suicide est une mesure extrême pour contrecarrer une OPA hostile. Il prend la défense de la pilule empoisonnée à un degré plus élevé. Contrairement à la stratégie de la pilule empoisonnée, dans la stratégie de pilule suicidaire, l'équipe de direction ou le conseil d'administration préfère que l'entreprise n'existe pas plutôt que d'être prise en charge. Par exemple, une société ciblée comme un candidat à la reprise peut avoir une disposition dans ses statuts que les États ont le droit d'échanger leurs actions contre une dette si une société acquérante achète un pourcentage prédéfini de la société. Cette mesure extrême augmente la dette du candidat au rachat et pourrait mener à la faillite.