Trudeau Spurs Boon pour la marijuana Industrie

THE INDUSTRY IS DOOM EPISODE 3 - IF DEBBIE DOES DALLAS WHO DOES HOUSTON? (Mars 2025)

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Trudeau Spurs Boon pour la marijuana Industrie

Table des matières:

Anonim

Lorsque les élections fédérales ont été déclenchées en août 2015, Justin Trudeau a lancé une plateforme qui promettait de «légaliser, réglementer et restreindre l'accès» à la marijuana. Même si cette position ne représentait qu'une petite partie de sa plate-forme, les Canadiens ont voté et accordé à Trudeau, le 19 octobre 2015, un gouvernement majoritaire solide, s'assurant qu'il a le pouvoir politique de réaliser toutes ses promesses électorales.

Pour une industrie canadienne de la marijuana en difficulté, la victoire de Trudeau a été chaleureusement accueillie. Pour les entreprises américaines qui cherchent à s'étendre de l'autre côté de la frontière et dans une zone d'investissement moins grise, la légalisation de la marijuana au Canada pourrait être la prochaine façon de s'enrichir rapidement. (Pour en savoir plus, voir: Candidats à la présidentielle et Wall Street en 2016. )

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La marijuana au Canada

La dernière fois que le parti Trudeau était au pouvoir, des projets de loi ont été déposés pour décriminaliser la marijuana, mais ils ont échoué. Santé Canada a autorisé l'utilisation de la marijuana à des fins médicinales en 2001, mais il a fallu que la Cour suprême impose un accès généralisé et permette la consommation sous toutes ses formes.

Aujourd'hui, la production de marijuana à des fins médicales est un processus fastidieux qui nécessite de longues demandes et de multiples inspections de la part de Santé Canada. Avec environ 40 000 utilisateurs de marijuana médicinale au Canada, il n'y a que 26 producteurs, ce qui est le résultat d'une vague de demandes lorsque le gouvernement a privatisé l'industrie en 2014.

Contrairement à ce qui se passe aux États-Unis, la marijuana médicinale au Canada n'est vendue directement du producteur au consommateur que si le détaillant réduit ses produits pour le client et facilite le contrôle des stocks. Cependant, cela concentre malheureusement les profits potentiels de l'industrie entre les mains de quelques entreprises.

Pourquoi les Américains regardent-ils à l'étranger?

Le plus gros problème auquel l'industrie de la marijuana est confrontée aux États-Unis est l'incertitude. Alors que la marijuana médicinale est légale dans 24 États et que l'usage récréatif est légal dans quatre États, le gouvernement fédéral et ses armes à long terme signifient que les cultivateurs et les détaillants doivent constamment être sur leurs gardes pour des changements administratifs à Washington.

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C'est pourquoi les entreprises américaines relativement grandes ont hâte d'entrer sur le marché canadien. Puisque Trudeau est le chef du gouvernement fédéral, ses politiques de pro-légalisation s'appliqueraient à l'échelle nationale. Les entreprises qui démarrent leur production dans la province favorable à la marijuana de la Colombie-Britannique n'auraient pas à craindre d'être fermées par un gouvernement supérieur ou d'éviter de détenir des comptes bancaires. (Pour la lecture connexe, voir:

Quels États autorisent les investissements de marijuana ) Avec la légalisation potentielle de la marijuana récréative, on estime que le marché canadien dépassera un million de clients d'une valeur de 5 milliards de dollars d'ici 10 ans .Ce montant est stupéfiant pour un pays dont le PIB est juste inférieur à 2 billions de dollars.

Mis à part les avantages évidents pour les producteurs actuels du pays, la marijuana récréative légalisée forcerait Santé Canada à délivrer plus de permis - un événement susceptible de stimuler une deuxième vague de demandes et d'offrir une excellente occasion aux entreprises qui cherchent à obtenir dans le rez-de-chaussée d'une industrie naissante. Bien que les sociétés de production au Canada soient actuellement au mieux rentables, le plus important cultivateur de marijuana au monde, Privateer Holdings, espère augmenter sa production à 9 000 livres par an avec des revenus estimés à 40 millions de dollars.

Plus de production et plus d'utilisateurs entraîneraient une croissance des services auxiliaires (accessoires, logiciels, services de livraison, etc.). Non seulement les entreprises auxiliaires existantes auraient-elles un marché plus important, mais en déplaçant leurs activités au Canada, elles bénéficieraient d'un environnement commercial dans lequel elles seraient libres de développer et de faire la publicité de nouveaux produits sans craindre l'intervention du gouvernement.

Inquiétudes de l'industrie

Les préoccupations liées à la légalisation de la marijuana au Canada sont similaires à celles de l'Amérique. Les opposants ont peur que la légalisation de la marijuana récréative normalise la drogue et transforme l'industrie de la marijuana en prochaine industrie du tabac - un groupe puissant d'entreprises qui ont causé d'immenses dommages au système de santé canadien et qui ont été la cible de décennies de campagnes publicitaires les jeunes de fumer.

Trudeau n'a pas encore dévoilé son plan de légalisation de la marijuana, mais il a déclaré que la marijuana ne serait pas disponible dans «tous les dépanneurs» (comme un moyen de le garder hors de la portée des non-adultes). Pour ce qui est de la vente au détail de marijuana dans un Canada peu peuplé, l'alternative est les coûts d'expédition élevés et l'inconvénient de l'attente, qui ne suffiraient pas à réprimer l'industrie de la marijuana illégale. (Pour en savoir plus, voir:

Activités illégales qui pourraient aider l'économie .) Malheureusement, la décision d'autoriser ou de rejeter les opérations de vente au détail pourrait échapper à Trudeau. À l'heure actuelle, l'alcool et le tabac sont administrés à l'échelle provinciale, certains États autorisant un accès facile à l'un ou à l'autre des établissements de vente au détail administrés par la province pour l'alcool. Sans surprise, la «Loi sur la Constitution» de 1867 n'a pas accordé de «réglementation à la marijuana», mais les avocats canadiens ont soutenu que le produit est un vice comme l'alcool et le tabac et devrait être administré par chacun des dix gouvernements provinciaux. .

The Bottom Line

C'est encore les premiers jours du gouvernement de Justin Trudeau et les détails de sa promesse de légaliser et de réglementer la marijuana n'ont pas encore été établis. Avec ou sans dispositions de vente au détail, la légalisation de la marijuana entraînera une augmentation du nombre de producteurs et une augmentation considérable de la clientèle. Non seulement les entreprises existantes seraient en mesure d'accroître la production, mais les entreprises fournissant des services auxiliaires seraient en mesure de développer de nouveaux produits pour soutenir la plus récente industrie juridique du Canada.